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Trad / Fr
Hebreu
A la mémoire de :
Joseph Raphaël Dahan Ben Bida Amar
décédé le 7 juillet 2007 - 21 Tamouz 5767

Eliyahou Mattatia ben Sara Russo
Décédé le 28 12 1984 - 4 Tévet 5745

Baroukha Mattatia bat Caroline
Décédée le 28 Juillet 2000 - 25 Tamouz 5760

Rabbi 'Hanania Ouaknine Ben Chélomo et ra'hel
décédé le 3 Tévet 5761

Marat Reina Ouaknine bat Mali'ha et David
décédée le 16 Tichri

Prosper Messaoud Sebbah ,Clémence André Sebbah, Léon Yéhouda Daoudi, Jacob Yaacov Daoudi, Sarah Daoudi, Yaacov Uzan


Koskas Rahamim Clément ben Raphaël et Maïssa
décédé le 5 Janvier 1986 - 24 Tevet 5746

Lucienne Myriam ELFASSY Bat Sultana Darmon et Yossef(Zouzou) ELFASSY
Décédés respectivement le : 2 Adar 5767 (20/2/07) et 27 Elloul 5738 (29/09/78)

Giles Kiki Yaacov Zarka
décèdè le 18 Juillet 2007-3 Av 5767

Jacques Temstet fils de Rika et de Gabriel
décédé le 23/09/2003 - 26 Eloul 5763

T 0225 - Tora pour jeudi : versets 24.2 à 24.6

Traduction du texte du jour incluant des commentaires de Rachi.

Abraham envoie Eli’ézer, son serviteur, dans son pays natal afin d’y chercher une femme pour Yits’hak

 

Rappel : Après l’enterrement de sa femme, Abraham, qui a atteint un âge avancé, se retrouve seul avec son fils, Yits’hak, à qui il faut trouver une épouse.

 

2. Abraham dit à son serviteur, le plus ancien de sa maison, qui avait le gouvernement de tous ses biens : « Mets, je te prie, ta main sous ma hanche,

 

3. pour que je t’adjure par l’Eternel, D.ieu du ciel et de la terre, de ne pas choisir une épouse à mon fils parmi les filles des Cananéens avec lesquels je demeure,

 

4. mais bien d’aller dans mon pays et dans mon lieu natal chercher une épouse pour mon fils, pour Yits’hak. »

 

5. Le serviteur lui dit : « Peut-être cette femme ne voudra-t-elle pas me suivre dans ce pays ; devrai-je ramener ton fils dans le pays que tu as quitté ? »

 

6. Abraham lui dit : « Garde-toi d’y ramener mon fils ».

 

Commentaire sur le verset 24.2, tiré de Rachi et de Ma’yanah chel Tora*, et sur le verset 24.3, tiré de Rabènou Bé’hayè*

 

a. Abraham dit à Eli’ézer : « Mets, je te prie, ta main sous ma hanche pour que je t’adjure par l’Eternel, D.ieu du ciel et de la terre ». Le Talmud (Chévou’ote 38b) déduit de ce verset que celui qui est tenu de prêter serment doit le faire en tenant un objet de culte, tel qu’un Rouleau de la Tora. D’où le serment sur la Bible, encore en pratique dans différents pays, notamment aux Etats-Unis.

Ici, Eli’ézer devait prêter serment en mettant sa main sous la hanche d’Abraham, à l’endroit de la circoncision, la Mitsva la plus chère à son maître en tant que premier commandement accompli sur l’ordre de D.ieu et au prix de grandes souffrances.

 

b. En général, on se montre très prudent et très méfiant dans le domaine pécuniaire, alors que dans le domaine rituel – tel que la Kachroute* – on est prêt à se fier à n’importe qui. Chez Abraham, c’était le contraire : pour les affaires, il faisait entièrement confiance à son vieux serviteur, « qui avait le gouvernement de tous ses biens ». En revanche, quand il s’est agi de choisir pour Yits’hak une femme dont dépendait son avenir spirituel et celui de ses descendants, il demanda à Eli’ézer de prêter serment et refusa de le croire sur parole.

 

c. Abraham interdit à Eli’ézer de prendre une épouse cananéenne pour Yits’hak, parce que Canaan, avec toute sa descendance, avait été maudit par Noa’h (voir Bérèchite 9,25) ; or, un homme peut être entraîné au péché par son épouse, comme Adam, et comme le roi Chélomo, le plus sage des hommes, « dont le cœur a été détourné par ses femmes » (voir I Mélakhim 11,4).

En outre, la nature bonne ou mauvaise d’une mère a une grande influence sur les enfants, comme un récipient qui donne son goût au vin qu’il contient.

 

 



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