Bienvenue sur le site du HOK LE ISRAEL HABAHIR.. L'édition bilingue en dix volumes est maintenant complète. Pour nous contacter : pour cette Édition ou pour nos deux autres ouvrages : HAFTAROTE ET PROPHETES OU "AUX SOURCES DU JUDAISME" ---> MOCHE ELKOUBY : MAIL - elkouby.m@gmail.com ou Tel en Israël : 054 533 46 87 ou 83 et en France : 01 77 47 08 05.
Identification  
Nom
Mot de passe
S'inscrire au Hokleisrael
Accueil
Qui sommes nous ?
Liens utiles
Recherche
Lexique
Aide
Nous contacter
Hok > TOLDOT > Yom Revii >
Retour

Trad / Fr
Hebreu
A la mémoire de :
Joseph Raphaël Dahan Ben Bida Amar
décédé le 7 juillet 2007 - 21 Tamouz 5767

Eliyahou Mattatia ben Sara Russo
Décédé le 28 12 1984 - 4 Tévet 5745

Baroukha Mattatia bat Caroline
Décédée le 28 Juillet 2000 - 25 Tamouz 5760

Rabbi 'Hanania Ouaknine Ben Chélomo et ra'hel
décédé le 3 Tévet 5761

Marat Reina Ouaknine bat Mali'ha et David
décédée le 16 Tichri

Prosper Messaoud Sebbah ,Clémence André Sebbah, Léon Yéhouda Daoudi, Jacob Yaacov Daoudi, Sarah Daoudi, Yaacov Uzan


Koskas Rahamim Clément ben Raphaël et Maïssa
décédé le 5 Janvier 1986 - 24 Tevet 5746

Lucienne Myriam ELFASSY Bat Sultana Darmon et Yossef(Zouzou) ELFASSY
Décédés respectivement le : 2 Adar 5767 (20/2/07) et 27 Elloul 5738 (29/09/78)

Giles Kiki Yaacov Zarka
décèdè le 18 Juillet 2007-3 Av 5767

Jacques Temstet fils de Rika et de Gabriel
décédé le 23/09/2003 - 26 Eloul 5763

H 0223 - Halakha pour mercredi:

Rambam Hilkhote Dè’ote, de 7.1 à 7.3

Les graves interdictions de la diffamation et de la médisance

 

1. (7.1) Celui qui épie les faits et gestes de son prochain et rapporte à son sujet des propos diffamants transgresse un interdit, car il est dit (Vayikra 19,16) : « Ne va point colportant le mal parmi les tiens ». Bien qu’on ne soit pas passible pour cela de la peine du fouet, appliquée seulement à celui qui transgresse un interdit par un acte, et non par la parole, c’est un grave péché, qui entraîne la mort d’un grand nombre de Juifs. C’est pourquoi, l’Ecriture a accolé à cette interdiction, le commandement (ibid.) : « Ne sois pas indifférent au danger de ton prochain ». On peut tirer une leçon de ce qui est arrivé à Doeg l’Iduméen qui mourut prématurément pour avoir causé la mort des quatre-vingt-cinq Cohanim de la ville de Nov en révélant à Chaoul que David avait trouvé refuge dans cette ville (voir I Chémouel chap. 22 et Sanhédrin 106b).

 

2. (7.2) Ce péché présente quatre degrés de gravité :

Il y a d’abord le colporteur (voir Vayikra 19,16). Qui est le « colporteur » ? C’est celui qui affirme des choses et va de l’un à l’autre en racontant : « Untel a dit ceci et cela sur toi » ou « J’ai entendu qu’Untel a dit ceci et cela à ton sujet ». Même si c’est vrai, il amène la destruction sur le monde.

Une faute bien plus grave est incluse dans le même verset : la médisance, c’est-à-dire raconter du mal de quelqu’un, même si le récit est parfaitement vrai et ne s’accompagne d’aucun commentaire méprisant ou réprobateur.

Au troisième degré de gravité, le calomniateur, qui lance des accusations mensongères.

Et enfin le professionnel de la médisance, qui a l’habitude de s’asseoir et de dire : « Untel a fait ceci et cela ; ses parents étaient ceci et cela, et j’ai entendu celui et cela à son sujet » en le dénigrant. C’est à son sujet qu’il est écrit (Tehilim 12,4) : « Que l’Eternel supprime toutes les langues mielleuses, les lèvres qui s’expriment avec arrogance ».

 

3. (7.3) Les Sages disent (Talmud de Jérusalem, Pèa 1,1) : « On subit un châtiment dans ce monde et on perd le droit au monde futur pour ces trois transgressions : l’idolâtrie, la fornication et le meurtre. Quant à la médisance, elle est aussi grave que toutes les trois réunies ».

Les Sages ont encore déclaré (ibid.) : « Médire, c’est comme renier D.ieu, car il est écrit (Tehilim 12,5) : « Ceux qui disent : Par notre langue nous triomphons, nos lèvres sont notre force ; qui serait notre maître ? »

Et les Sages ont encore affirmé (‘Arakhine 15b): « La médisance fait trois victimes : l’auteur, celui qui y ajoute foi et la personne concernée. Celui qui y ajoute foi commet une faute encore plus grave que celui qui l’a proférée.

 



Termes et conditions Confidentialité A propos des EDITIONS ADLIC Contact
Copyright 2008 - HOK-LE-ISRAEL HABAHIR tous droits réservés www.hli.li