Traduction allégée d’un passage du Séfer ‘Harédim 68a
L’amour de D.ieu et du prochain rend saint
a. Le Maître du monde fait rayonner sa lumière vivifiante sur celui qui ne détourne pas les yeux de Lui.
b. Celui qui aime D.ieu et son prochain comme son propre fils, juge ses semblables favorablement, dit toujours du bien d’eux, se montre aussi humble que Hillel l’Ancien, gentil et conciliant, il a le mérite de s’attacher à son Créateur et d’être appelé « saint ». |